C’est LE sujet du moment, pourtant…
… le gouvernement tâtonne (déjà) sur la question de la fin de vie.
Le 28 mars 2024, Juste Milieu pointait du doigt le premier mensonge d’Emmanuel Macron et de son équipe sur le sujet.
Mais ce n’est pas fini…
Dans un article du 22 avril 2024, Le Figaro revient sur les raisons qui pourraient pousser le président de la République à s’intéresser à ce sujet.
Et si tout cela n’était qu’une question de budget ?
Le modèle français, directement inspiré de ses voisins ?
La France pionnière sur l’aide à mourir ?
Emmanuel Macron ne cache pas son envie de mettre en place une loi hybride, toujours dans le but de se démarquer du reste du monde.
Toutefois, et pour changer, cela ressemble surtout à de la communication…
Le député LR Patrick Hetzel explique : “Ce qu’on nous présente comme le modèle français de la fin de vie s’apparente plutôt à un mélange de ce qui se pratique en Suisse et en Belgique”.
Mais ce n’est pas tout !
Au sein des Républicains notamment, le flou entourant les contours de l’aide à mourir pose sérieusement problème.
Le parti note, par exemple, l’absence d’étude d’impact, permettant de déterminer le nombre de personnes qui pourraient (vraiment) être concernées…
… mais également les effets budgétaires !
C’est la question interdite : et si la question de la fin de vie était, surtout, une question d’économies ?
En effet, face au coût des traitements pour les personnes en fin de vie, l’euthanasie légale représente une voie d’économies pour les hôpitaux français, dont la situation se délite année après année.
Sur ce point, Le Figaro cite une étude réalisée au Canada en 2017 qui pourrait donner un début de réponse…
Plusieurs millions d’économisés par an ?
L’aide à mourir pourrait-elle être un outil permettant au gouvernement français de faire quelques économies ?
La question se pose !
D’après Le Figaro, “une étude […] estimait entre 35 et 137 millions de dollars par an les économies budgétaires liées à la mise en oeuvre de “l’aide à mourir””.
Du côté de la France, un autre paramètre entre dans l’équation : la présence forte du lobbying des mutuelles.
Patrick Hetzel n’hésite pas à dénoncer : “Plusieurs membres de la commission spéciale ont été contactés par des délégués départementaux de la MGEN qui plaide pour “promouvoir une fin de vie libre et choisie””.
La MGEN est la Mutuelle générale de l’Éducation nationale.
Et il y a fort à parier qu’elle aura voix au chapitre quand il faudra légiférer sur la question.
Vous voulez en savoir plus sur le projet “fin de vie” prévu par la France ?
Juste Milieu vous propose de découvrir ou redécouvrir sa vidéo sur le sujet !
N’hésitez pas à partager l’article et la vidéo autour de vous !
Je vous admire, RÉMI ! J’espère que beaucoup, de plus en plus de personnes, vous écoutent ! C’est presque hilarant, le paradoxe : on veut sauver même papi et mami, quitte à culpabiliser les enfants, (horrible), pendant le covidisme, pour les faire mourir maintenant !!!
L’euthanasie fait partie du programme de l’eugénisme , l’IVG également , ils ont l’idée de faire table rase de toute l’humanité et d’en faire une à leur image . Vous connaissez Margaret Sanger c’était une fervente du nazisme , macron également il est pour l’eugénisme , s’il affirme qu’il est contre l’extrême droite c’est du pipo . Il faut comprendre comment il fonctionne quand il dit » en même temps » voilà comment il fonctionne : il affirme une chose dans un sens devant le publique en arrière fond il va dans le sens contraire , au milieu des 2 sens contraire vous avez son esprit qui tourbillonne c’est ce que l’on appel avoir un esprit rotor , ce qui explique pourquoi il est naturellement mauvais .