L’ARN messager contre la grippe aviaire
Depuis l’avènement du Covid-19, l’ARN messager s’est largement répandu.
Le 26 mars 2024, Juste Milieu expliquait que BioNTech mise dessus pour traiter les cancers du sein.
Et ce n’est qu’une infirme partie des exemples qui existent dans le domaine.
Certes, des effets secondaires existent, de l’aveu même de Jean-François Delfraissy.
Mais cela n’empêche pas les laborantins de plancher sur l’ARN messager…
… notamment pour le traitement de la grippe aviaire H5N1 !
Lueur d’espoir pour les États-Unis ?
Le monde doit s’apprêter à faire face à une nouvelle pandémie.
C’est du moins ce qu’estime un article du Figaro du 7 août 2024.
Non, il ne fait pas mention à la variole du singe qui suscite toutes les inquiétudes, dont celle de l’OMS…
… mais à la grippe aviaire qui ferait son grand retour.
Le Figaro explique en effet que “le virus a été détecté dans le bétail de 178 fermes aux États-Unis”.
Pire : quatre personnes auraient contracté la maladie depuis avril 2024.
De là à parler de pandémie à l’échelle humaine, il y a bien sûr un cap.
Mais il n’empêche que la situation commence à alerter, notamment du côté de l’agence fédérale des États-Unis.
Heureusement, deux vaccins existent, conçus par un laboratoire français : Ceva Santé animale.
Le premier est assez classique…
… alors que l’autre est un vaccin à ARN messager.
Et le moins que l’on puisse dire, c’est que tous les espoirs reposent sur lui !
Une technologie achetée en 2017
Interrogé sur l’efficacité du vaccin à ARN messager, le PDG de Ceva Santé animale n’y va pas par quatre chemins.
Après avoir acheté le brevet pour son vaccin en 2017, il mise tout sur ce petit nouveau.
D’autant que ce n’est pas la première fois qu’il produit ce type de vaccin pour des animaux.
Selon lui, “dans la population d’oiseaux, on a une efficacité à 100 % y compris contre la contamination”.
Après une telle réussite, quoi de plus logique que d’expérimenter ce type de vaccins sur les mammifères ?
Forcément, les fermiers et propriétaires de bétail fondent beaucoup d’espoir dans cette solution.
L’objectif est désormais clair d’après Le Figaro : il faut obtenir des premières réponses d’ici la fin de l’été.
L’ARN messager va-t-il représenter la lueur d’espoir tant espérée ?
Sera-t-elle une cruelle désillusion ?
Ça, seul l’avenir nous le dira…
Ils nous prennent pour des pigeons , la prochaine fois pour continuer à nous injecter de l’ARN , ils nous sortirons la maladie du dahu , vous trouvez cela idiot ? vous avez raison , pour une raison : ils nous prennent pour des idiots .
On nage dans un monde militaro scientifique , » où on saura tout sur tout pour savoir produire tel ou tel type d’individu qui lui saura marcher avec tous » (Lacan ) . En clair le monde néo libéral instaure un système totalitaire .
Dommage que l’article n’évoque pas les taux « magiques » dont parlaient Pfizer et Cie lors de l’arrivée des injections (anti)Covid : 98%, 95%, etc.
Sans ce point, l’article fait tout de même le jeu de l’espoir sur l’ARNm. Le « m » de ARNm ne veut pas dire « messager », mais « modifié ».
Cela rejoint peut-être l’article sur les moustiques OGM et tout ce trafic du vivant…