Serviettes, tampons : composition inconnue, le gouvernement valide
S’il y a bien un objet utilisé au quotidien par une grande partie de la population française et qui est l’objet de tous les mystères, c’est bien les serviettes et les tampons hygiéniques.
Depuis plusieurs années, ces deux accessoires suscitent tous les débats.
En cause ?
Le manque de transparence sur les produits utilisés pour leur conception.
Il faut dire que les suspicions ne manquent pas !
Irritations, infections, sensations de brûlure, dégradations du système immunitaire et parfois même choc toxique…
Les effets peuvent parfois être désastreux.
De quoi convaincre le gouvernement de changer son fusil d’épaule et de contraindre les entreprises fabricantes à dévoiler la constitution de ces fameux tampons et serviettes ?
Pas sûr.
En deçà des ambitions européennes
Si le sujet de la constitution des serviettes et des tampons hygiéniques est revenu sur le devant de la scène, c’est parce que l’Union européenne se penche dessus.
En effet, elle prévoit, comme le révèle un article du Journal Du Dimanche du 28 mai 2023, l’obligation d’affichage “de chacun des composants et des produits ajoutés intentionnellement lors du processus de fabrication”.
En clair, l’UE aimerait, dans un souci de transparence, permettre aux utilisateurs de connaître les composants de leurs produits afin d’acheter en toute connaissance de cause.
Cette loi est déjà insuffisante pour les associations luttant pour la transparence.
La directrice de Règles élémentaires contre-attaque : “Les industriels n’auront l’obligation d’afficher que les produits ajoutés intentionnellement”.
Exit donc les produits utilisés pour le traitement du coton, qui se trouvent pourtant sur les produits hygiéniques.
Mais le gouvernement français a décidé de faire pire !
Il souhaite, en effet, exclure de ce champ d’action tous les produits textiles…
… dont les produits menstruels, à majorité constitués de fibres textiles.
Autant dire que nous ne sommes pas près d’avancer sur le sujet…
Il y a une volonté délibérée de stérilisée les femmes depuis un paquet d’années !
Donc ils mettent « intentionnellement » probablement du graphène, et autres métaux lourds, comme ils en mettent dans les vêtements de sport en synthétique.
En revanche ce n’est pas un accessoire ….. un gode je veux bien mais pas un tampon !
On peut préciser qu’un choc toxic peut être mortel. En effet, le tampon est blanchi chimiquement pour « faire propre » et donner confiance. J’ai en mémoire le décès d’un jeune femme de 17 ans, en plaine forme pourtant, qui est décédée par empoisonnements successifs au tampons !
La parois vaginale est très fine et les produits résiduels ont pénètré son corps jusqu’à la mort !
Ce n’est pas le tampon qui est responsable du choc toxique, mais la méconnaissance de son usage. Les tampons sont accompagnés d’une notice qu’il est important de lire. Le choc toxique est dû à la prolifération du staphylocoque doré, lequel sécrète de la toxine A, chez une femme qui a oublié de retirer son tampon pendant plusieurs jours.
Quand on ne maitrise pas un sujet, on écrit des sottises.
Vous affirmez qu’il s’agit uniquement d’un problème de comportement individuel.
Vous charger donc la barque de la responsabilité des clientes et vous obérez certaines défaillances des produits vendus.
Ce me semble être une position tendancieuse !!!
Vous avez raison sur les produits chimiques blanchissants. J’ai vu un reportage sur le sujet. Cela date depuis l’origine de la fabrication. Années 60 ? Je ne sais plus. Une jeune femme avait proposé la nouveauté « pratique » à sa soeur, elle en est morte dès la première utilisation. Aux USA, à côté d’une usine de traitement des fibres de coton, des résidus de produit s’échappaient dans la nature avec pour conséquence de faire mourir toute la végétation, arbres compris.
Les fabricants savent depuis le début. 50/60 ans après, rien n’est fait. Le risque de mourir est bien caché. On soupçonne aussi un lien avec l’endométriose.
Toutefois, Piédenlo a aussi raison. L’un n’empêche pas l’autre. C’est deux sujets en un.
Tous les textiles devraient être un grand sujet de Réflexion : avec la tige d’ortie ( qui a rendu Riche Jean Valjean !) on sait produire des textiles très doux.
L’ortie pousse partout autour de nous sans engrais ni pesticides 🙂
🌬️🎇
Solution évidente = pour les serviettes ET les tampons, remplacez par un torchon vaisselle, roulé serré, et une culotte
Ah lobby quand tu nous tiens ! Quand pour une fois l’Europe va dans le bons sens, le gouvernement lui met des bâtons dans les roues 🤦
Culottes menstruelles de qualité, c’est beaucoup mieux. Hygiénique, écologique, durable, confortable.