Sénatoriales : la défaite royale de Ségolène
Parfois, il faut savoir tourner la page…
Après un mandat d’ambassadrice des pôles, entre 2017 et 2020, qui a gelé son image politique (accusation d’absentéisme, curieuses interventions médiatiques, etc.), Ségolène Royal voulait (encore) revenir aux affaires.
Cette fois, elle visait le poste de sénatrice des Français de l’étranger.
C’est la fameuse « méthode Valls » : tant qu’il y a un poste des quelques biftons à prendre, on range sa cohérence et son honneur dans sa poche…
… et on fonce !
En fin de compte, peut-être aurait-elle dû s’abstenir…
11 voix sur 534
Difficile de trouver le juste mot pour qualifier une telle déroute.
Sur 534 grands électeurs, Ségolène Royal n’a réussi à obtenir que 11 voix. C’est tout.
Déjà, il faut rappeler le contexte un peu « étrange » d’une telle élection.
Comme le précise un article de France Info du 27 septembre 2021, cette élection aux postes de sénateurs des Français de l’étranger est avant tout « une élection de réseaux« .
Sans appuis extérieurs du côté du corps des grands électeurs, des conseillers consulaires ou des Français expatriés, difficile de briguer un poste.
Deuxième difficulté pour Ségolène Royal : elle n’avait même pas l’appui du Parti socialiste.
Ces derniers ont préféré soutenir Yan Chantrel, ancien conseiller parlementaire, aujourd’hui installé du côté du Canada.
Tout ça cumulé, la déroute était plus que prévisible.
Et le pire, c’est qu’elle ne lâche toujours pas…
C’est bien d’avoir de la détermination…
… mais de là à vouloir courir le marathon avec les deux genoux pétés, il y a une limite.
On pourrait légitimement se dire que Ségolène Royal va passer à autre chose et arrêter la politique, au moins pendant quelques années.
Même pas !
« Dans une vidéo postée sur son compte Twitter, l’ex-candidate à la présidentielle annonce transformer son think thank en parti politique, pour attirer ceux qui ne se reconnaissent pas dans l’office actuelle« , nous apprend l’article de France Info cité précédemment.
Et ça n’est même pas une blague…
Voici la vidéo en question :
Bon…
… on n’a plus les mots.
Punaise! Vous avez combien de partis socialistes en France? 10? 12?
Beaucoup trop. Déjà un c’est trop
Il y a des expertises psychiatriques qui se perdent…
La politique rend elle con ou les cons vont-ils en politiques ? Que neni ma bonne Brigitte, les rats sont en politique parce la politique est faite pour et par des rats.
Elle est gentille ^^
lorsqu’il n’y avait pas de députés représentant les français de l’étranger, on pouvait « admettre » des sénateurs portant leurs voix.
Mais aujourd’hui, une assemblée censée représenter les territoires qui offre un fauteuil, aussi confortable soit-il, est-ce un doublon bien logique ?
Comme l’a dit très justement REMY Sego et Valls meme combat: quand il y a un petit bifton a alpaguer,peu importe l’honneur et la parole ……Pourquoi et commentveulent -ils etre respectés ???
Un parti qui transmet blablabla… Un opposition avec un projet digne de ce nom blablabla… ==> Que du pareil au même, et que du vent : Vous suivrez les directives européennes comme tous les autres. y rester c’est s’écraser…