Israël – Palestine : Macron définitivement perdu ?
Emmanuel Macron fait (encore) parler de lui !
Plutôt discret depuis l’arrivée de son nouveau Premier ministre Michel Barnier, le président de la République reste très actif en coulisses.
Le 29 septembre 2024, un article du Point révélait que Macron aurait écrit à un de ses amis au sujet du nouveau gouvernement : “Qu’ils se démerdent entre eux !”.
La belle ambiance !
Et niveau petites piques et fuites foireuses, ça ne va pas en s’arrangeant…
Face à la situation entre Israël, la Palestine et le Liban, le président s’est senti contraint d’intervenir.
C’est ce qu’affirme la lettre Politico du 22 octobre 2024, expliquant qu’Emmanuel Macron a appelé Benyamin Netanyahou.
Et le moins que l’on puisse dire, c’est que notre chef d’État a l’air totalement perdu !
Des volte-face permanentes
Quelle est la véritable position d’Emmanuel Macron sur la situation en Israël ?
Bien malin celui qui peut répondre à cette question…
Déjà, le 15 octobre 2024, le président français affirmait en conseil des ministres : “M. Netanyahou ne doit pas oublier que son pays a été créé par une décision de l’ONU”.
Une déclaration confirmée par plusieurs ministres qui avait fait sortir Netanyahou de ses gonds.
En même temps, comment comprendre ce léger rappel à l’ordre alors qu’Emmanuel Macron affirmait encore quelques jours plus tôt que la France “est l’amie indéfectible d’Israël” ?
Les jours sont passés…
Mais Emmanuel Macron n’a pas éclairci sa position sur le conflit, bien au contraire !
Comme le révèle Politico, il a récemment appelé Benyamin Netanyahou pour lui affirmer son soutien suite à une attaque de drones qui a visé le domicile du Premier ministre israélien.
Mais il a également “dénoncé les actions menées par l’armée israélienne contre les emprises de la FINUL et a exprimé sa volonté que les Nations unies jouent tout leur rôle au sud du Liban”.
Des volte-face successives qui ont poussé un diplomate français à affirmer : “Je ne sais toujours pas ce que pense le président sur le sujet”.
Et un autre diplomate a enfoncé le clou, toujours auprès de Politico : “Ça donne l’impression qu’il répète ce qu’on lui a dit en dernier”.
On va l’avouer : nous non plus, on ne comprend pas grand-chose aux vraies intentions d’Emmanuel Macron !
Pour une foi Macareux avait raison : Wikipédia :sraël résulte de l’accomplissement de la vision du mouvement sioniste, dont les premières bases politiques ont été posées à la fin du XIXe siècle sous l’impulsion de Theodor Herzl et ont visé à la création d’un État juif. Lors du démantèlement de l’Empire Ottoman à la fin de la Première Guerre mondiale, l’établissement du Foyer national juif est facilité par la Grande Bretagne par la Déclaration Balfour de 1917 dans l’ancienne partie méridionale de la Grande Syrie23, dénommée dès 1920 par les Britanniques « Palestine mandataire ». Ce petit territoire a toujours été considéré par les Juifs comme leur terre ancestrale, Eretz Israël.
Après le vote du plan de partage de la Palestine mandataire le 29 novembre 1947 par l’Organisation des Nations unies (ONU) qui entérine la fin du mandat britannique sur la Palestine mandataire et prévoit le partage de son territoire entre deux États, juif et arabe, l’indépendance d’Israël est proclamée le 14 mai 1948 à Tel Aviv par David Ben Gourion, qui devient son premier Premier ministre.
Pour une foi Macareux avait raison : Wikipédia :sraël résulte de l’accomplissement de la vision du mouvement sioniste, dont les premières bases politiques ont été posées à la fin du XIXe siècle sous l’impulsion de Theodor Herzl et ont visé à la création d’un État juif. Lors du démantèlement de l’Empire Ottoman à la fin de la Première Guerre mondiale, l’établissement du Foyer national juif est facilité par la Grande Bretagne par la Déclaration Balfour de 1917 dans l’ancienne partie méridionale de la Grande Syrie23, dénommée dès 1920 par les Britanniques « Palestine mandataire ». Ce petit territoire a toujours été considéré par les Juifs comme
comme leur terre ancestrale, Eretz Israël.
Après le vote du plan de partage de la Palestine mandataire le 29 novembre 1947 par l’Organisation des Nations unies (ONU) qui entérine la fin du mandat britannique sur la Palestine mandataire et prévoit le partage de son territoire entre deux États, juif et arabe, l’indépendance d’Israël est proclamée le 14 mai 1948 à Tel Aviv par David Ben Gourion, qui devient son premier Premier ministre
Désolé pour la répétition du commentaire, mes doigts n’étaient pas d’accord avec mon cerveau …lol