Inflation : le stock de nourriture idéal ?

Je vais aller droit au but : je ne suis ni un trader en agroalimentaire, ni Madame Irma.

Je n’ai aucune idée de l’évolution des prix de la nourriture à long terme.

Mais admettons que je veuille me constituer un stock de nourriture pour lutter contre l’inflation…

Voyons ce que ça donnerait en réalité.

Inscrivez-vous à la newsletter gratuite Apprendre Préparer Survivre

Recevez gratuitement par email les conseils et les stratégies de résilience d’Antoine.

Autosuffisance alimentaire, sac d’évacuation d’urgence, secourisme, autonomie énergétique et en eau…

Vous saurez comment vous protéger des prochaines crises, en toute autonomie !

Indiquez votre email ici pour vous inscrire gratuitement

En bonus, vous recevrez gratuitement le dossier « 10 astuces simples et efficaces pour vous constituer un stock de nourriture » dans votre boîte email.

Un stock dynamique comme outil contre l’inflation ?

Le stock dynamique est ce que j’applique chez moi. 

L’idée est d’avoir chez soi un mois d’avance sur sa consommation.

Grâce à ce système, ce que je consomme aujourd’hui a été acheté un mois avant.

Prenons exemple avec un paquet de pâtes. 

Si le paquet de pâtes a augmenté en un mois, en toute logique, j’ai fait quelques économies. 

Mais puisque mon stock de nourriture est fait sur le mois, je vais devoir racheter un paquet de pâtes ce mois-ci, paquet qui aura subi l’augmentation des prix. 

Conclusion : ça ne change pas grand chose pour moi.

Mais continuons le raisonnement. 

Et si j’achetais des palettes de paquets de pâtes pour faire des économies ?

Si je veux vraiment lutter contre l’inflation sur le long terme avec mon stock de nourriture, je n’ai pas le choix, il faut que j’achète de grosses quantités !

Un mois d’avance ne suffit pas. Il faudrait un an, voire plus pour m’y retrouver.

Dans les faits, ça signifie acheter des palettes entières de nourriture.

Problème, je n’ai pas de quoi stocker des palettes entières de nourriture !

Surtout, je pense que c’est une connerie pour plusieurs raisons :

• stocker de très grosses quantités sur le long terme, c’est prendre le risque de la dégradation des aliments (rongeurs, mites, chaleur, humidité) ;

• il faut de bons moyens financiers : je ne peux pas personnellement acheter 1 an de nourriture en une fois ;

• si tout le monde fait ça, il y a un vrai risque de pénurie alimentaire : c’est exactement ce qu’on reproche aux prévoyants ;

• il est impossible de connaître l’évolution des prix sur le long terme : j’aurais l’air bien bête avec mes palettes de paquets de pâtes si le prix baisse quelques mois après les avoir achetées…

Bref, c’est une stratégie foireuse. 

Pour finir, éthiquement, j’ai du mal…

Si je me constitue un stock de nourriture, c’est uniquement pour protéger ma famille des crises.

Pas pour faire un pari financier aléatoire et m’approprier de grosses quantités de nourriture.

Je suis plus à l’aise dans la peau d’un prévoyant que d’un trader. Et s’il y a bien une chose que m’a appris mon grand-père, c’est à respecter la nourriture.

Qui est Antoine Ledu ?

Passionné de survie et d’autonomie, Antoine Ledu lance en novembre 2020 le projet Apprendre Préparer Survivre.

À travers sa newsletter gratuite, Antoine délivre des stratégies concrètes pour aider ses lecteurs à développer leur résilience et faire face aux différentes crises du quotidien.

De nombreux sujets sont abordés :
– l’autonomie alimentaire avec le stock de nourriture, la conservation des aliments, le potager, les plantes sauvages… ;

– la survie physique avec le sac d’évacuation d’urgence, le secourisme, le matériel indispensable, etc. ;

– la survie financière avec l’or, l’argent, les crypto-monnaies,… ;

– l’autonomie en eau et énergie à travers les expériences d’Antoine dans sa BAD (Base autonome durable).

Et bien d’autres thématiques indispensables pour se protéger et protéger sa famille.

Partagez

Twittez

Partagez par mail