Hélène Gerhards : une amie de Dupond-Moretti proche de la mafia corse !

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L’affaire Hélène Gerhards ne vous dit rien ?
En avril 2024, cette juge a été mise en examen pour “douze délits présumés” évoqués par Mediapart dans un article du 19 août 2025.
“Trafic d’influence, détournement de fonds publics, associations de malfaiteurs, faux et usage de faux”…
On peut parler d’un tiercé gagnant !
Cerise sur le gâteau : Hélène Gerhards n’était nulle autre qu’une proche du ministre de la Justice de l’époque Éric Dupond-Moretti.
Juste Milieu a eu l’occasion de revenir sur les liens entre les deux comparses dans un article du 4 avril 2024.
Depuis l’explosion de l’affaire, les avocats d’Hélène Gerhards ont saisi la cour d’appel d’Aix-en-Provence pour contester l’enquête.
Cette dernière a rendu son verdict…
… et on peut parler d’un camouflet !
Les quinze motifs d’irrégularités retoqués
Hélène Gerhards et ses avocats ont tout tenté pour que l’enquête ne soit pas validée.
Comme l’expliquait Mediapart, ils ont remis en doute la “partialité de l’accusation”, l’“incompétence territoriale” ou encore les “écoutes téléphoniques et [la] garde à vue illégales”.
En tout, quinze points sont remontés à la cour d’appel d’Aix-en-Provence qui devait juger de leur légitimité ou non.
Elle a publié un rapport de 75 pages.
Et pour elle pas de doute : “Aucune disproportion dans les choix des investigations ne peut être caractérisée”.
Rappelons qu’Hélène Gerhards est notamment accusée d’avoir entretenu des liens avec le “premier cercle de l’équipe criminelle dite du “Petit Bar””.
Cette dernière a été mise en cause dans des cas d’assassinats, de blanchiment d’argent et de trafic de drogue.
Un comble pour une juge…