Cocaïne : une pratique courante à l’Assemblée nationale ?
Le dossier que Marianne a consacré à la cocaïne dans son édition du 1er mars 2023 est tout bonnement explosif.
Forcément, l’affaire Palmade n’y est pas pour rien…
Tabou de la société française, la question de la consommation de cocaïne a été (re)mise au premier plan.
L’hebdomadaire a ainsi tenté d’exposer une situation allant bien plus loin que le simple cas de l’humoriste, en mettant le doigt où ça fait mal.
Marianne revient notamment sur l’affaire Pellerin, dont Juste Milieu avait déjà parlé…
… et révèle que la pratique est des plus courantes dans le monde politique !
Des facilités d’accès à la cocaïne
L’article de Marianne du 1er mars 2023 révèle en effet que, sous couvert d’anonymat, un assistant parlementaire a dénoncé une démocratisation de ces pratiques…
… et ça ne date pas d’hier !
S’exprimant sur les députés de la majorité présidentielle, il explique que “beaucoup de collabs prennent de la cocaïne. Des députés aussi”.
Rien que ça !
Il poursuit en révélant que le député pour lequel il travaillait avait une consommation quotidienne de cette drogue.
Une pratique en toute discrétion ?
Pas du tout, “vu le nombre de pailles laissées dans les poubelles du bureau” !
Un scandale en soi, auquel vient s’ajouter le fait que certains députés utiliseraient de l’argent public pour financer leur propre consommation !
En effet, l’enquête de Marianne affirme que des députés utiliseraient leur enveloppe parlementaire.
150 € peuvent être dépensés par semaine en liquide, sans besoin de justificatif.
Un beau cadeau pour ceux qui n’avaient qu’à se procurer leur drogue à quelques pas de l’Assemblée nationale.
Pour en savoir plus, découvrez la nouvelle vidéo de Juste Milieu, disponible le 17 mars à 18h !
mais qu’est-ce qui leur prend de ce mettre cette merde dans le pif ? Il croient devenir plus intelligents sans doute, mais c’est impossible, cons ils sont, cons ils resteront !
C’est que ça bosse dur alors faut tenir le coup…
« un assistant parlementaire a dénoncé une démocratisation de ces pratiques… »
Je trouve que le mot « démocratisation » est inapproprié, ici.
Quand donc obligerons-nous tous ces parasites à justifier toutes leurs dépenses ? Là est le fond du problème ! Nous les incitons à transgresser toujours plus en les laissant agir à leur guise… Nos impôts doivent être utilisés à bon escient, fini le gaspillage pour ne pas dire la gabegie !!!