Bourrage d’urnes à l’Assemblée : des élections truquées de partout ?
Des soupçons de triche avérés à l’Assemblée nationale ?
Le 19 juillet 2024, la chambre basse du Parlement devait élire ses vice-présidents, ses questeurs et ses secrétaires de Bureau.
Un vote important, faisant suite à l’élection de Yaël Braun-Pivet, déjà contestée par certains membres du Nouveau front populaire.
Mais rien ne s’est passé comme prévu !
Alors que le premier tour venait de se terminer…
… les responsables du dépouillement ont remarqué 10 enveloppes de trop dans les urnes !
De quoi se poser des questions sur la légitimité de ces élections ?
Une action organisée ?
L’élection pour choisir les vice-présidents de l’Assemblée nationale a été riche en rebondissements !
En effet, comme le révélait un article de BFMTV du 19 juillet 2024, “ce sont “10 enveloppes en trop” qui ont été retrouvées dans l’urne, à l’issue d’un long dépouillement”.
De quoi pousser Yaël Braun-Pivet à annuler le premier tour du scrutin.
Mais il y a quelques zones d’ombre !
En effet, toujours d’après BFMTV, les votants se sont de nouveau présentés aux urnes “sans que davantage d’explications sur cette irrégularité ne soit donnée”.
Et forcément, cela a créé une sorte de surprise générale.
L’ancien candidat à la présidence de l’Assemblée nationale André Chassaigne a affirmé sur RTL que “c’est sans doute une forme de sabotage. Pour qu’il y en ait dix, c’était sans aucun doute une action organisée”.
De son côté, Sandrine Rousseau a estimé le 22 juillet sur BFMTV qu’il faudrait une sanction “exemplaire”.
Et d’ailleurs, puisqu’on parle de sanction, le verdict vient de tomber !
Une “absence de preuve” ?
Une telle affaire devrait logiquement mener à l’ouverture d’une enquête pour tenter de trouver les responsables.
Mais Libération, dans un article du 25 juillet 2024, vient de révéler qu’il n’en sera rien.
En effet, “aucune enquête poussée ne sera diligentée pour connaître le fin mot de l’histoire”.
La présidence de l’Assemblée nationale a même expliqué que “les investigations ont eu lieu et elles n’ont pas permis d’apporter de conclusion. La cause n’a pas été identifiée. En l’absence de flagrant délit, impossible de savoir”.
Quels députés ont donc ajouté des bulletins dans l’urne ?
Quel parti avait intérêt à saborder le scrutin ?
Autant de questions qui resteront sans réponse…
Circulez, y a rien à voir.
C’est la poule qui chante qui fait l’oeuf !