On nous le présente comme le “sauveur du monde”.
L’ex-patron de Microsoft, reconverti en bienfaiteur planétaire, aurait “éradiqué la poliomyélite”, “sauvé des millions d’enfants” et “révolutionné la santé mondiale”.
Mais à y regarder de plus près, la Bill & Melinda Gates Foundation (BMGF) ressemble parfois plus à un empire qu’à une ONG.
On a mené l’enquête…
Derrière le don, le rendement
Depuis sa création en 2000, la fondation a distribué 77,6 milliards de dollars de subventions
Une somme astronomique… souvent versée à des structures où Bill Gates investit aussi par le biais de son “Trust” privé.
Pfizer, BioNTech, Moderna, Sanofi : les montants investis avant la pandémie donnent le vertige. Et le plus troublant, c’est cette déclaration de Gates en 2015 : « Il faut se préparer à une pandémie comme à la guerre ».
Coïncidence ? Peut-être. Mais le mélange des genres entre philanthropie et business interroge.
À force d’investir dans la santé, Gates a fini par l’influencer. Et quand la charité devient stratégie, c’est la démocratie sanitaire qui s’enrhume.
Et si la charité des milliardaires servait (avant tout) à gouverner le monde ?
Depuis vingt ans, Bill Gates investit des milliards dans la santé mondiale — et récolte bien plus qu’une bonne image : du pouvoir, des réseaux, et une influence sans précédent sur les politiques publiques.
Notre vidéo-enquête exclusive démonte les mécanismes de cette “philanthropie rentable” :
– comment la fondation Gates finance la recherche… tout en possédant des parts dans les labos qu’elle soutient ;
– les liens entre Gavi, Covax et Big Pharma ;
– et comment un seul homme peut imposer des priorités de santé à des États entiers.
🎥 25 minutes d’enquête, de documents officiels et de témoignages décortiqués dans le style Juste Milieu : clair et sans concession.
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