Après ministre et prof, la nouvelle reconversion de Jean-Michel Blanquer
Dans la famille des reconversions improbables en Macronie, je voudrais l’ancien ministre de l’Éducation nationale : Jean-Michel Blanquer.
Il va y avoir des déçus mais, non : il ne se lance pas (encore) dans le stand-up.
Il faut dire que Jean-Michel Blanquer avait marqué les esprits ces dernières années lorsqu’il était ministre.
Blanquer avait su se faire remarquer dans bien des affaires dont la plus marquante avait eu lieu en plein Covid-19 où il avait annoncé le protocole sanitaire des écoles, collèges et lycées en direct d’Ibiza !
Et s’il a récemment fait la Une de Juste Milieu par l’intermédiaire de sa femme, Anna Cabana il y a quelques jours, le voici de retour pour toute autre chose !
Une reconversion surprenante
Après la réélection d’Emmanuel Macron, Jean-Michel Blanquer a fait partie des ministres éconduits.
Remplacé par Pap N’Diaye à l’Éducation, il s’était alors présenté aux élections législatives pour continuer à exercer en politique…
… un échec cuisant.
En effet, Jean-Michel Blanquer avait été éliminé dès le premier tour dans la quatrième circonscription du Loiret.
Un parachutage dont la Macronie a le secret, soit dit en passant…
Mais c’est toute la magie de ladite Macronie : à peine quelques semaines après son échec, voici notre Blanquer national mystérieusement parachuté comme professeur de droit à l’université d’Assas à Paris.
Un poste spécialement conçu pour Blanquer, comme le veut une rumeur rapidement répandue après la nomination de l’intéressé.
Vous en voulez encore ?
Jean-Michel Blanquer, après quelques mois seulement à ce poste universitaire et malgré les nombreuses critiques du monde politique et scolaire, vient tout juste de tenter une énième reconversion en devenant…
… avocat en droit des affaires spécialisé dans l’économie des “biens communs”, pour reprendre les termes d’un article de BFMTV du 17 janvier.
Il rejoint le cabinet Earth Avocats, en qualité d’associé. Un cabinet fondé par Yves-René Guillou qui a déjà œuvré avec Jean-Michel Blanquer dans les années 90, comme “assistants du professeur Philippe Ardent” sur les bancs de l’université.
Un risque de conflit d’intérêts à venir ?
Comme le précise Yves-René Guillou : “Il ne prendra pas son téléphone pour appeler son carnet d’adresses”.
Alors dans ce cas, nous voici rassurés…
Je vais faire très !!! très !!! très court !!!
Je suis d’autant plus à l’aise que je n’ai pas VOTÉ pour cette petite ORDURE de MACRON !!!
Entendre les Français geindre en permanence m’horripile !!! Il fallait réfléchir avant de mettre le bulletin dans l’urne !!! et s’infliger sur ce psychopathe dangereux !!!
Fermez le ban !!!!!!!!