L’ARN messager pour traiter les cancers ?
Le magazine Sciences et Avenir d’octobre 2022 fait le point sur les différentes technologies mises en place pour combattre les grandes maladies de notre siècle.
Et comment passer à côté de l’ARN messager, technologie popularisée auprès du grand public par les vaccins contre le Covid-19 ?
Selon l’article, cette nouvelle technologie pourrait permettre de lutter contre les cancers mais également les maladies cardiaques, la mucoviscidose et les maladies auto-immunes.
Ça ferait presque rêver !
Une question de protéines
La démarche serait relativement simple au niveau des personnels ayant la responsabilité d’attribution des traitements : les maladies où l’apport de protéines serait primordial feraient l’objet d’un traitement à l’ARNm.
Plutôt que de tenter de réexpliquer vaguement le principe sans être un minimum sérieux et précis, voici ce que dit l’article : “Sur les quelque 200 types cellulaires qui le composent, le corps humain sait ainsi produire au minimum 100 000 protéines différentes et peut-être plus. Bref, si l’on peut commander aux cellules de les synthétiser à la demande, ces molécules à tout faire deviennent un levier thérapeutique à la fois fin et puissant qui pourrait être majeur”.
Le journaliste tend par la suite à nuancer son propos, confirmant que la technologie n’a, pour l’heure, pas fait ses preuves, ne serait-ce qu’en essai clinique.
Bien évidemment, si la technologie reste la même, la protéine n’est pas la même qu’en contexte viral, ce qui pourrait apporter des résultats bien différents de ce que nous avons pu constater avec les vaccins contre le Covid-19.
Une arrivée en France ?
Si le gros des recherches s’effectue aux États-Unis, six projets bénéficient en France de financements exceptionnels de la Ligue contre le cancer.
Les premiers résultats n’apparaîtront pas tout de suite, l’ARNm en étant encore au stade d’essai clinique.
Comme pour le vaccin contre le Covid-19.
Les spécialistes ne souhaitent pas crier victoire trop tôt et préfèrent passer la deuxième des trois phases cliniques avant d’affirmer qu’un nouveau traitement est disponible.
Pas comme pour le vaccin contre le Covid-19…
Quoi qu’il en soit, une nouvelle perspective s’ouvre au monde de la médecine avec l’ARN messager, boudé pendant près de 40 ans et qui pourrait là présenter une alternative pertinente si les résultats sont probants.
Affaire à suivre…
Mdr ça fait des années qu ils essaient en vain!
Bref, maintenant faut applaudir la théorie, rêver et croire en l espoir d un traitement miraculeux grâce a une technologie qui n a jamais permis un traitement efficace et non toxique. Cf le pseudo vaccin anti covid19
Ça aura le mérite de faire monter le cours des actions avant qu ils avouent leur flop.