Les millionnaires se préparent à la fin du monde !
Toutes les semaines, Juste Milieu accueille de nouvelles plumes. Auteurs, experts, citoyens engagés… On vous laisse la parole pour réfléchir encore un peu plus !
Jusqu’ici, les super-riches se préparaient en toute discrétion…
À quoi ? L’effondrement !
Les fondateurs des fameuses start-ups en hypercroissance, ces milliardaires et millionnaires de la Silicon Valley, sont de plus en plus nombreux à l’assumer au grand jour (ou presque).
Ils se préparent à un bouleversement majeur dans les prochaines années.
Et pour ça, ils ne lésinent pas sur les moyens :
– construction de bunkers ultra cosy ;
– achat d’îles isolées du reste du monde ;
– villes entières ultras-sécurisées ;
– plans d’évacuation de leur demeure ;
– recrutement d’anciens militaires pour les aider dans leur préparation et leur protection…
Quand on a les moyens, on ne compte pas, n’est-ce pas ?
Qui sont-ils ces ultra-riches prêts à l’effondrement ?
Ce sont les fameux « self-made men », ceux qui se sont faits tout seul !
Contrairement aux anciennes générations de millionnaires dirigeants d’entreprise, ils ne doivent leur fortune qu’à leur sens des affaires et leur grande intelligence.
Ils ont créé le monde ultra connecté dans lequel nous vivons aujourd’hui :
– reconnaissance faciale sur nos smartphones ;
– automatisation massive de la production et des services ;
– récupération gigantesque des données personnelles de leurs clients…
Non seulement ils ont créé le monde dans lequel nous vivons…
… mais ils sont aussi ceux qui créeront celui dans lequel nous vivrons dans le futur !
Alors, pourquoi ceux qui créent notre futur le redoutent-ils autant ?
Ce sont les mieux placés pour savoir ce qui nous attend !
Ils ont créé le système.
Ils en connaissent ses forces, qu’ils savent utiliser pour générer du profit, mais aussi ses faiblesses.
Ils connaissent mieux que personne les dangers du monde ultra dépendant et ultra connecté à la technologie dans lequel nous sommes maintenant habitués à vivre.
Cette dépendance peut coûter cher aux pays industrialisés…
En cas d’un simple bug informatique, d’une coupure d’électricité généralisée ou d’une contamination des eaux communes, les ravages peuvent être immenses pour la population.
Un crash technologique coûterait cher, très cher
Il y a 50 ans, une coupure d’électricité ne faisait pas grand mal. On allumait des bougies et la vie reprenait rapidement son cours.
Aujourd’hui, une coupure d’électricité et c’est la panique ! Tout s’arrête : les hôpitaux, l’approvisionnement alimentaire, les transports publics, la sécurité…
Là où la population est ultra concentrée en zone urbaine, les dégâts peuvent être terribles.
Prenez l’exemple d’un bug dans le système informatique de paiement d’une banque.
C’est rarement un scénario pris comme exemple d’un effondrement, et pourtant…
… il est loin d’être anodin.
Avec un bug majeur dans le système informatique des banques, c’est un système entier qui se paralyse ! Les banques utilisent quasiment toutes la même technologie.
Résultat : l’économie mondiale serait tout simplement paralysée.
La population entière n’aura plus confiance dans les données des banques.
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Le risque d’une dévalorisation de la monnaie : l’économie s’effondre
Si plus personne n’a confiance dans les données des banques, l’économie va rapidement s’effondrer.
Faisons un petit rappel de la définition de “monnaie fiduciaire”.
Selon Wikipédia : « La monnaie fiduciaire est la monnaie comprenant les pièces et les billets de banque, c’est un instrument financier dont la valeur nominale est supérieure à la valeur intrinsèque : la confiance (fiducia en latin) que lui accorde l’utilisateur comme valeur d’échange, moyen de paiement, et donc comme monnaie, repose sur un principe de garantie défendu par une institution centralisatrice. »
C’est comme si un billet de 500 € valait autant qu’un emballage de sandwich !
Quelles sont les conséquences en cas de perte de valeur de la monnaie ?
– Il est impossible de payer avec une carte de crédit.
– Il est impossible de retirer de l’argent en liquide de son compte bancaire.
– Les entreprises ne peuvent plus payer leurs fournisseurs.
– Les salaires ne peuvent plus être payés.
Sans moyen de paiement informatique, la monnaie perd toute sa valeur et l’économie s’effondre complètement.
Les ultra-riches craignent les troubles sociaux
Il y a une autre peur latente dans l’esprit de ces super-riches, c’est celle de troubles sociaux de grande ampleur…
Ils en sont la première cause et en seront les premières victimes.
En automatisant le travail, ils détruisent des millions d’emplois. Ces milliardaires ont mis en place des modèles économiques ultra-libéraux qui font tomber dans la misère des classes sociales déjà très vulnérables.
En coulisses, ce sont aussi eux qui aident les États à mettre en place des outils de surveillance et de contrôle des citoyens : vidéosurveillance avec reconnaissance faciale, manipulation de l’opinion publique, récupération et divulgation des données aux plus offrants…
Longtemps fantasmées, ces technologies sont aujourd’hui dans nos rues, et aident les plus puissants à s’enrichir.
Mais ces milliardaires ne sont pas dupes…
Ils ont parfaitement conscience que la situation n’est pas viable à long terme. Ils craignent une révolte contre le système actuel.
Et donc contre eux.
Qui est Antoine Ledu ?
Passionné de survie et d’autonomie, Antoine Ledu lance en novembre 2020 le projet Apprendre Préparer Survivre.
À travers sa newsletter gratuite, Antoine délivre des stratégies concrètes pour aider ses lecteurs à développer leur résilience et faire face aux différentes crises du quotidien.
De nombreux sujets sont abordés :
– l’autonomie alimentaire avec le stock de nourriture, la conservation des aliments, le potager, les plantes sauvages… ;
– la survie physique avec le sac d’évacuation d’urgence, le secourisme, le matériel indispensable, etc. ;
– la survie financière avec l’or, l’argent, les crypto-monnaies,… ;
– l’autonomie en eau et énergie à travers les expériences d’Antoine dans sa BAD (Base autonome durable).
Et bien d’autres thématiques indispensables pour se protéger et protéger sa famille.
Si j’ai bien compris, il s’agit de supprimer des emplois en remplaçant les ouvriers par des machines pour produire des marchandises ;
Ces ouvriers se retrouvant au chômage gagneront donc moins d’argent (seulement leur indemnité de chômeur);
Mons d’argent : c’est moins de pouvoir d’achat, donc moins de ventes pour les entreprises, donc moins de bénéfices pour celles-ci, donc moins d’argent pour les actionnaires;
C’est le serpent qui se mord la queue !
Et ce n’est pas récent, dans les années 70 en cours d’économie, il y avait déjà comme auteur à étudier, un certain Jacques Attali, et nous apprenions « la société des loisirs » dans laquelle l’homme ne travaillait plus et vivait des produits fabriqués par les machines, je ne sais plus comment le transfert de la « richesse » s’effectuait, il me semble que l’homme se servait c’est tout.
Cela fait donc 50 ans que le remplacement de l’homme par la machine était prévu, mais à l’époque on s’en sortait bien, aujourd’hui…
Et toujours ce même nom qui revient, Attali, il serait bon un jour de faire une étude très sérieuse sur cet homme qui ne cesse de murmurer à l’oreille des présidents et pourquoi tous l’écoute.
Attai par le biais de quelques livres allant dans l’air du temps mais relatant ce dont était estampé les étudiants, préconisait par exemple la limitation raisonnée de la population ou dépopulation voire génocide affirmant que les gens iraient volontairement à l’abattoir. Il supputait aussi l’avènement d’un gouvernement mondial messianiste dont le siège serait à Jérusalem par exemple mais pas que. Cela aurait pourtant du parler et siffler à l’oreille d’un juif plus encore à celle du goyim objet de cette réflexion sur un populicide raisonné. Mais ce thème prospectif couru depuis les années 1970 n’était pas immédiatement prégnant. Il convenait d’abord d’organiser une culpabilité collective construite sur le « génocide » tel que défini par Nuremberg. Un chantage mafieux à l’irrémissible culpabilité sur fond économique ayant trait à la récupération cupide des capitaux dormant appartenant hypothétiquement à des « victimes » et aux paiements de dommages et intérêts importants récupérés et gérés par l’Etat Théocratique Hébreux. Cette extorsion de fonds n’a pas souvent profité aux bénéficiaires supputés. Maintenant c’est le chantage tout court avec la captation hégémonique du droit d’expression, la réécriture de l’histoire selon ce que de besoin. Mais aussi l’installation d’un état juif dans l’Etat français par activisme, essaimage lobbyste dans le système du pouvoir et de la presse d’individus estampés au moule du prêt à penser. Une gangrène partagée avec les francs-maçons souvent les mêmes mais aussi concurrents. J’observe que nombre de ces gens notamment de confession juive viennent étrangement d’AFN tout comme Attali. Cela s’explique en partie par la concentration des rapatriés d’Algérie en Ile de France. Tout ce battage permet de masquer les crimes courus en Palestine et supputerait l’avènement messianiste voulu du nouvel ordre mondial. Mais aujourd’hui, le grand capitalisme, l’appelleriez vous Etat profond, oligarchie, banquiers-marchands a peur de ce qu’il a créé. Une vulgaire hydre mafieuse sans foi ni loi, incontrôlable, constituée d’intérêts opposés qui va immanquablement se retourner. Les populations en feront les frais. Ce grand capitalisme est encore d’essence anglo-saxonne et a pour sites référentiels la City et Wall Street.
à Didier GAUTHIER
C’est le serpent qui se mord la queue !
sauf sauf si tu muliplie les habitants , et que tu importe des population habituer a vivre avec moins que rien , et qui consomment au jour le jour leurs maigre revenus en étant heureux de ne pas habiter dans un bidonville .