Macron nous sort (encore) la carte de la guerre pour tenter de s’en sortir !
Le 19 novembre 2025, devant le Congrès des maires de France, le général Fabien Mandon, chef d’état-major des armées depuis le 1er septembre 2025, a lâché une phrase glaçante : il faudrait désormais “accepter de perdre nos enfants”.
Une sortie directement préparée et validée par l’Élysée, avant d’être mollement “clarifiée” dans la foulée par le même général Mandon sur le plateau de C à Vous sur France 5.
Mais le message, lui, reste limpide : la France doit se préparer… à la guerre.
Coïncidence ou stratégie bien huilée ?
Les choses sont bien faites, sacré hasard quand même !
Trois jours plus tard, Emmanuel Macron relançait une nouvelle mouture de son « service militaire : dix mois d’engagement “sur la base du volontariat”, rémunérés entre 900 et 1 000 euros par mois.
Un timing parfait après l’échec cuisant du Service national universel (SNU) tant désiré par « Jupiter » et alors que l’exécutif continue de chercher à réveiller un patriotisme de façade.
Des drapeaux partout, du sens nulle part…
Et pendant que Paris rejoue la mobilisation générale, la réalité, elle, se joue ailleurs : un scandale de corruption frappe l’Ukraine, et Donald Trump propose un plan de paix qui redéfinit les lignes du front.
Mais peu importe : Macron semble déterminé à faire vibrer la corde martiale, quitte à transformer la peur en instrument de gouvernance.
Après avoir épuisé la “carte du Covid”, voici venue celle de la “guerre totale”.
Toujours la même recette : l’émotion, la peur, et l’illusion d’unité nationale.



