Depuis plus de deux siècles, les liens entre la franc-maçonnerie et le ministère de l’Intérieur résistent à toutes les alternances politiques.
Selon Vincent Nouzille dans son enquête Le côté obscur de la force (2023), “les loges maçonniques disposent d’un accès privilégié aux informations sensibles”.
L’auteur cite également, entre autres révélations, une “source bien placée” évoquant une présence “massive” de frères dans les syndicats de police.
Un constat confirmé par le journaliste Frédéric Ploquin dans un article du Parisien en date du 16 octobre 2023 : “70 % des commissaires seraient franc-maçons, 50 % chez les officiers subalternes”.
Un chiffre vertigineux pour un corps censé garantir la neutralité républicaine.
Un héritage historique assumé
Depuis Joseph Fouché, ministre de la Police sous Napoléon, jusqu’à Gérard Collomb sous Macron, la tradition perdure. Et pour cause : “jusqu’aux années 1970, deux préfets sur trois étaient initiés” (Nouzille, p. 446).
De quoi se demander si, au ministère de l’Intérieur, on prête d’abord serment à la République… ou à la loge.
Et si tout cela n’était pas que du passé ?
Juste Milieu a mené l’enquête pour en savoir plus !
Derrière les murs du ministère, des liens bien gardés
Castaner, Lallement, Guéant, Collomb…
Ces personnalités politiques que vous connaissez toutes ont un point commun.
Non, vous ne rêvez pas : c’est bien leur appartenance à la franc-maçonnerie qui relie ses personnalités.
Dans notre enquête en vidéo (impossible à diffuser sur YouTube) nous avons fait le point sur cette situation.
Découvrez ci-dessous comme recevoir cette vidéo gratuitement en quelques minutes.



